L'éducation des jeunes filles

Pourquoi le cambodge

Suite au génocide commis par les Khmers rouges, le Cambodge, dont 50% de la population a moins de 18 ans, a perdu la quasi-totalité de ses intellectuels.

Les répercussions de ce génocide se font encore sentir aujourd’hui et la reconstruction du pays est un travail long qui demande beaucoup d’énergie. Le taux de pauvreté est tel que certaines familles sont obligées de faire travailler leurs enfants très jeunes. Ils vivent dans une immense précarité, souffrant souvent de carences alimentaires et de problèmes d’hygiène.

Les écoles publiques, victimes principales de l’absence des intellectuels, donnent cours à mi-temps dans des classes surchargées. Souvent, ce sont les filles qui en payent le prix, devant arrêter l’école à la fin du primaire afin d’aider leur famille.

pourquoi les filles ?

Lorsqu’une famille dans une situation précaire dans un pays comme le Cambodge peut scolariser un enfant, c’est toujours le garçon qui est choisi. Les petites filles, elles, doivent très tôt aider aux tâches domestiques ou travailler pour aider à subvenir aux besoins de leur famille.

Sur les 774 millions d’adultes analphabètes dans le monde, 2/3 sont des femmes. La proportion des femmes analphabètes n’a pas évolué depuis vingt ans.

Cette inégalité fait de la scolarisation des filles l’un des grands enjeux du millénaire. Les experts internationaux s’accordent sur ce fait : quand l’éducation des femmes progresse, la mortalité infantile et la surnatalité baissent et la propagation des pandémies est mieux maîtrisée. Ces femmes instruites vont ensuite partager cette éducation avec leurs enfants, élevant le niveau d’éducation du pays. La scolarisation des filles, c’est aussi un signe du degré de liberté et de démocratie d’un pays.

C’est en réponse à ces constats que l’association Toutes à l’école a choisi de développer une scolarisation de haut niveau pour les petites filles défavorisées, afin de les aider à devenir des femmes libres et des mères instruites.

pourquoi les filles ?

Lorsqu’une famille dans une situation précaire dans un pays comme le Cambodge peut scolariser un enfant, c’est toujours le garçon qui est choisi. Les petites filles, elles, doivent très tôt aider aux tâches domestiques ou travailler pour aider à subvenir aux besoins de leur famille.

Sur les 774 millions d’adultes analphabètes dans le monde, 2/3 sont des femmes. La proportion des femmes analphabètes n’a pas évolué depuis vingt ans.

Cette inégalité fait de la scolarisation des filles l’un des grands enjeux du millénaire. Les experts internationaux s’accordent sur ce fait : quand l’éducation des femmes progresse, la mortalité infantile et la surnatalité baissent et la propagation des pandémies est mieux maîtrisée. Ces femmes instruites vont ensuite partager cette éducation avec leurs enfants, élevant le niveau d’éducation du pays. La scolarisation des filles, c’est aussi un signe du degré de liberté et de démocratie d’un pays.

C’est en réponse à ces constats que l’association Toutes à l’école a choisi de développer une scolarisation de haut niveau pour les petites filles défavorisées, afin de les aider à devenir des femmes libres et des mères instruites.

La creation de l'association par Tina Kieffer

Parmi tous les enfants non scolarisés dans le monde, plus de la moitié sont des filles.

C’est suite à ce constat et à un voyage au Cambodge que la journaliste Tina Kieffer a fondé en 2005 l’association Toutes à l’école. La mission de l’association : proposer une scolarisation de haut niveau aux petites filles les plus démunies et les accompagner jusqu’à leur premier emploi, afin de les conduire à un métier qui leur apportera liberté et dignité.

La prise en charge des élèves par Toutes à l’école est globale : éducation, alimentation et suivi médical (médecine générale, vaccinations, soins dentaires et ophtalmologiques). Un soutien est également apporté aux familles, notamment sous forme de paniers alimentaires. Le rôle de l’école Happy Chandara, créée par Toutes à l’école, est donc déterminant pour l’avenir des petites filles de cette région pauvre dont les familles vivent pour la plupart de l’agriculture, de la pêche et de la cueillette de jasmin.

La creation de l'association par Tina Kieffer

Parmi tous les enfants non scolarisés dans le monde, plus de la moitié sont des filles.

C’est suite à ce constat et à un voyage au Cambodge que la journaliste Tina Kieffer a fondé en 2005 l’association Toutes à l’école. La mission de l’association : proposer une scolarisation de haut niveau aux petites filles les plus démunies et les accompagner jusqu’à leur premier emploi, afin de les conduire à un métier qui leur apportera liberté et dignité.

La prise en charge des élèves par Toutes à l’école est globale : éducation, alimentation et suivi médical (médecine générale, vaccinations, soins dentaires et ophtalmologiques). Un soutien est également apporté aux familles, notamment sous forme de paniers alimentaires. Le rôle de l’école Happy Chandara, créée par Toutes à l’école, est donc déterminant pour l’avenir des petites filles de cette région pauvre dont les familles vivent pour la plupart de l’agriculture, de la pêche et de la cueillette de jasmin.

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